Château le Caillou - Château la Tour du Pin Figeac
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Château Le CAILLOU
La famille Giraud élève ces deux grands vins racés, typés, où l’élégance prédomine. Une histoire de passion et de talent.
“Nos 18 hectares de vignes ont une moyenne d’âge de 30 à 40 ans, explique André Giraud. L’encépagement est de 80% Merlot et 20% de Cabernetfranc.
Ce que je recherche surtout dans mes vins, c’est l’équilibre entre le fruit, l’expression parfaite du Merlot et un léger boisé. L’élevage en barriques dure un an, dont 1/3 de fûts neufs, 1/3 de barriques d’un vin et le dernier tiers de 2 vins, ainsi, le boisé n’est pas trop prédominant. Nos vins se caractérisent par la rondeur, le fruité, et la souplesse. J’aime les vins en finesse, très soyeux, bien équilibrés entre barrique et fruit. Je n’aime pas les vins trop tanniques.
Nous sommes une exploitation familiale depuis plus d’un siècle. Mon épouse Sylvie m’assiste pour l’administratif et la commercialisation. Mon fils Stéphane nous a rejoints pour travailler sur la propriété il y a une dizaine d’années; il s’occupe des chais et de la vigne. Son frère Laurent développe le marketing et l’oenotourisme. Château la Tour du Pin Figeac est idéalement situé sur la route allant de Saint-Émilion à Pomerol. Étant voisins de Cheval Blanc, nous sommes donc à un emplacement particulièrement stratégique”.
Château Le Caillou Pomerol
- Le 2016 est parfumé, harmonieux, au nez subtil et intense à la fois, avec des notes épicées, charnu et concentré, de bouche ample aux notes de pruneau et de sous-bois.
- Le 2015 est particulièrement séducteur, au nez de cannelle, de cuir et de petits fruits rouges macérés, riche, d'une longue finale, ample et savoureux en bouche, de garde.
Château La Tour du Pin Figeac Grand Cru Classé Saint-Emilion
- Le 2016, de charpente élégante mais dense, aux tanins présents et fondus à la fois, ample, d'une belle finale, tout en nuances avec des notes de griotte, de fumé et d'épices
- Le 2015, classique des belles réussites de l’appellation dans ce grand millésime, de robe grenat intense, au nez dominé par les épices et les petits fruits rouges à noyau, est velouté, de très bonne bouche, où l’on retrouve l’humus et le pruneau, dense et séduisant.
Château le Caillou - Château la Tour du Pin Figeac
Famille Giraud
41, rue de Catusseau
33500 Pomerol
Téléphone : 05 57 51 06 10
C’est en 1998 que la famille Sioen achète la propriété et s’emploie à lui redonner ses lettres de noblesse. La Marzelle s’étend sur un superbe terroir de graves, d’argiles et de sables: la Haute Terrasse de Saint-Emilion, qui a été formée, il y a 2 millions d’années au pléistocène inférieur par l’Isle qui coulait par ici jusqu’à la Dordogne. D’où l’explication des galets rubéfiés. Une orientation Bio a été prise depuis 1988.
Le Saint-Émilion GCC 2016, est un vin de couleur grenat intense, complexe au nez comme en bouche, distingué, aux connotations de cerise confite et d’humus, qui possède des tanins amples, de garde, bien sûr. Le 2015, est un beau vincharnu, épicé, de bouche soyeuse, riche et corsée, un vin concentré, avec une jolie finale légèrement poivrée, de belle évolution.
Un domaine de 19 ha issu d’un terroir exceptionnel de graves siliceuses et d’argiles graveleuses parsemées de moellons calcaires (70% Sauvignon, 14% Sauvignongris et 16% Sémillon pour les vinsblancs; 63% Merlot, 27% Cabernet-Sauvignon et 10% Cabernetfranc pour les vins rouges). Vendanges manuelles, élevage du blanc 40% en barriques neuves pendant 6 mois sur lies fines et 60% en cuves sur lies également; le rouge : vin de goutte 85% de la récolte en barriques pendant 12 mois et vin de presse 15%.
Le vin produit sur le domaine se caractérise par une expression minérale autant en rouge qu'en blanc reflétant le type de solargilo-calcaire.
La vigne est présente depuis longtemps au Domaine de Grandmaison : dès le XVIIIe siècle, Monsieur de Belleyme, Ingénieur cartographe du Roi Louis XV, mentionne notre crû alors appelé Barreyre. Au fur et à mesure des époques, la production de vin s’est parfois interrompue, (à cause du gel, du phylloxéra), et a parfois fait place à la polyculture. Grandmaison a aussi fait office de maison de campagne. François Bouquier, qui avait dû quitter son Cantal natal au début du vingtième siècle, y fit quelquefois les vendanges et acquit le domaine en 1939, quand il sut qu’il était à vendre. Puis, à partir de 1970, Jean (son fils) et son épouse Françoise reconstituèrent le vignoble et entreprirent la construction de l’actuel cuvier. Grandmaison entrait alors à nouveau en production.
Depuis 1988, c’est François (leur fils) qui vinifie et avec son épouse Mayi, tous deux se consacrent à la propriété familiale depuis 1993.
“Lors des vendanges 2021, nous avons été impactés par la gelée du 7 Avril, nous indique François Bouquier, ce qui a réduit la récolte de 60%; néanmoins, à partir du 15 Août, le soleil est revenu jusqu'à fin Septembre et les vendanges se sont déroulées début Octobre. D'où une belle maturité, les vinsblancs et rouges sont bien fruités et équilibrés.
Sont commercialisés actuellement les rouges 2018, 2019 et les blancs 2019 puis 2020. Nous restons axés sur les soins du vignoble.”
Remarquable Pessac-Léognan rouge 2019, c’est une réussite, au nez délicat, charpenté et équilibré, parfumé (griotte, humus...), c’est un vin intense au nez, ample en bouche, velouté, bien classique du millésime, de garde, bien entendu. Le 2018, est riche et suave, aux notes de fruits, de cannelle et d’humus, très équilibré au nez comme en bouche, servi par une belle structure, très prometteur.
Très réussi Pessac-Léognan blanc 2020, persistant et racé, a un nez de pain grillé et de pêche, il est riche en arômes comme en charpente, un vin ample et gras, aux nuances de pomme mûre et de noix en finale. Le 2019, riche au nez, d’une grande complexité aromatique où l’on retrouve des nuances de noix, de citron et de pomme, et dégage une bouche puissante et une longue finale.
Une exploitation familiale depuis quatre générations. La 3e génération, avec Jean et Bernard Mallet, donna un souffle nouveau, en consacrant un investissement conséquent dans l’outil de production.
Pour Anne Mallet, “le gel d'Avril a considérément réduit la récolte mais nous avons été épargnés par les maladies communes à la vigne, ainsi, si la quantité n'est pas au rendez-vous, la qualité est bien présente selon les terroirs, malgré les aléas du temps. Sont vendus Haut-Macô Tradition 2018, 2019, 2020, la cuvée Jean- Bernard 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019, ainsi que les Clairets 2021.
Nous renouvelons régulièrement les vieilles vignes au profit de jeunes plants.”
Voilà un beau Côtes-de-Bourgcuvée Jean-Bernard 2018, 80% Merlot et 20% CabernetSauvignon, vignes de 30 ans en moyenne, élevage en cuves et en barriques neuves pendant 18 mois, alliant une finessetannique à une rondeur en bouche persistante, ample, d’une très jolie finale avec des notes d’épices et de fraise des bois surmûrie.
Excellent Côtes-de-Bourg Traditionnel 2019, aux arômes persistants de petits fruits rouges mûrs à noyau, il a des taninssoyeux, un vincharnu et distingué. Le 2018, avec ces notes de mûre et de griotte, est riche en couleur, aux taninsveloutés, de bouche ample. On termine avec ce BordeauxClairet de Haut-Macô 2020, composé à 70% de Merlot, et 30% de Cabernet-Sauvignon, élevage sur lies fines, un vin gourmand et fruité (groseille, fraise, poire…), franc et frais, toujours l’un des meilleurs de la région.
Anne et Hugues Mallet - Scea Mallet Frères 61, rue des Gomdauds 33710 Tauriac Téléphone :05 57 68 81 26 Email : hautmaco@wanadoo.fr Site personnel : www.hautmaco.com
CHATEAU LA GALIANE
Typicité, régularité, plaisir... associés à l’accueil qui vous sera réservé par cette propriétaire charmante et passionnée retenue depuis notre premier Guide et à un formidable rapport qualité-prix-typicité ! Le Château doit son nom au Général Anglais Galian qui depuis ce lieu commandait les troupes anglaises pendant l'occupation de l'Aquitaine au XVe siècle. Exploitation familiale depuis plusieurs générations, plantée de 50% de Cabernet-Sauvignon, 45% de Merlot et 5% de Petit Verdot, ce qui présente un parfait équilibre, classique et traditionnel de l'appellationMargaux. Le vignoble est réparti sur des croupes de fines graves.
“J’ai la chance, nous dit Christiane Renon, d’avoir de très beaux millésimes à la vente : le 2018 est un très bon millésime, d’une très belle couleur avec de bons arômesfruités, des vins assez charnus, bien équilibrés, très plaisants, c’est une excellente année pour les vins de garde. 2019 est dans la même lignée que 2018. 2018 et 2019 me font penser aux 2009 et 2010 ou aux 2015 et 2016.
Ces 2018 et 2019 sont des vins déjà agréables à déguster dans leur jeunesse avec un fruit bien présent, mais ce sont des vins qui ont aussi l’équilibre, la matière, les tannins… tout, pour en faire aussi des vins de garde. Les 2013, 2014 et 2017 sont des vins très agréables à déguster maintenant, après quelques années de bouteilles, cela leur a permis de s’épanouir, ils révèlent un beau potentiel. Souvent il faut oublier les vins un peu en cave, et après on les redécouvre avec plaisir, les tanins sont bien fondus, les vinssoyeux et complexes.”
Exceptionnel Margaux 2019, d’une très belle robe profonde, un grand millésime très équilibré avec de bons tanins qui sont très plaisants, en bouche, belle matière soyeuse, bonne persistance aromatique, de garde, évidemment. Le 2018, très classique, ample et structuré, au nez complexe (prune, réglisse), alliant finesse et charpente, aux tanins riches, avec ce charnu et cette pointe d’épices spécifique, il est de bouche puissante et souple (18,50 €). Le 2017, particulièrement séduisant, en effet, au nez de fruits rouges surmûris (prune, groseille) et de violette, tout en souplesse, riche au nez comme en bouche, un vin charmeur et gourmand, parfait, par exemple, sur un navarin d'agneau ou un foie de veau (15,50 €).
Le 2016, est un vin puissant et structuré, au bouquet subtil et intense à la fois, un vin qui développe des arômes séduisants de cassis et de sous-bois, avec des tanins équilibrés, qui mérite d’être conservé pour profiter de son potentiel, à un prix formidable. Remarquable 2015, coloré, d’une jolie robe rouge sombre, au bouquet ample, riche, aux senteurs de réglisse et de mûre, aux tanins bien fondus, de bouche dense où s’entremêlent des nuances de cerise noire et d’humus. Le 2014, de couleurpourpre soutenu, riche mais très élégant, très savoureux, intense au nez comme en bouche (fraise des bois, épices), avec une structure très équilibrée et fondue, de très bonne garde. Savoureux 2013, de robe profonde, riche et complet avec des notes de réglisse et de cassis, un vin flatteur, rond, ample, avec des taninssoyeux.
❤❤❤❤❤ D'une superficie de 20 ha, le Château est situé sur la commune, au pied du coteau, à l'ouest de la cité médiévale, sur un sol tantôt silico-argileux, tantôt silico-calcaire.
Une valeur sûre avec son Saint-Émilion GC 2019, aux puissants arômes de fruits rouges (mûre, fraise des bois...), d?épices, aux tanins bien enrobés, un vin tout en charpente, d?une finale persistante, de garde, naturellement. Le 2018, de couleur grenat, aux tanins équilibrés, dégage un nez subtil dominé par les petits fruits rouges à noyau et les épices douces, c?est un vin riche, bien classique comme on les aime (18 €).
Superbe 2016, il a de la matière, avec des notes de petits fruits rouges intenses (prune, cerise), d?une jolie finale et de très bonne évolution, il se goûte parfaitement aujourd?hui sur un filet de bœuf à la salardaise ou une fricassée de cèpes et ris d'agneau. Le 2015, qui se goûte tout aussi bien, d?une belle couleur aux reflets violets, a des arômes de groseille, de poivre et de cassis, savoureux en bouche (15 à 20 €). Alexandre Plocq - Scea Bouquey Rivallon
❤❤❤❤❤ Au sommet. Le vin est racé et distingué, très représentatif de ce que doit être un vrai grand vin de Saint-Émilion, et collectionne les récompenses, à un prix très doux ! On est loin des vins ?bodybuildés?, sans âme ni terroir... Certifié Agriculture Biologique. Ce cru collectionne les récompenses : quelque 80 médailles et autres coups de cœur depuis le millésime 1994
?La principale caractéristique de Château Croque-Michotte, nous explique Pierre Carle, c?est un terroir exceptionnel. Si vous tracez une ligne entre Cheval Blanc et Petrus dans les vignobles de Saint-Émilion, il n?y a que Croque-Michotte qui soit sur cet axe entre ces deux très grands vins. D?autre part, je m?attache à produire des vins dans l?esprit des appellations d?origines contrôlées en 1935. C?est-dire au moment où l?on a créé les appellations. Ce qui est le plus important, c?est le terroir composé de minéraux qui sont dans le sol et qui vont donner la personnalité définitive au vin. On ne peut travailler qu?avec une bonne matière première, c?est-à-dire les raisins qui poussent sur de grands sols et la maitrise des rendements, on vise 35 hl/ha mais ces dernières années on enregistre seulement 25 hl/ha. La cause en revient aussi au renouvellement des vignes que nous effectuons très progressivement. Nous avons encore quelques très vieilles vignes de 100 ans, nous y tenons, nous en avons remplacé d?autres qui ne nous donnaient pas satisfaction ni en quantité ni en qualité.
Notre actualité est de récupérer notre classement, pour redevenir Grand Cru Classé en espérant que la commission s?intéressera au terroir et à la maîtrise des rendements, le but étant, nous semble-t?il, de classer les grands terroirs. Un classement se fait en fonction du vin et non par rapport aux infrastructures œno-touristiques, les longueurs de haies, nappes d?eau, les longueurs de la chaussée? des paramètres qui n?intéressent pas du tout le consommateur de New-York, Tokyo ou Berlin qui achète une bouteille de Croque-Michotte et qui ne viendra sans doute jamais sur la propriété. Nous espérons être reclassé à la loyale, par rapport à notre terroir et à la maîtrise des rendements.
La qualité du 2021 est très bien par contre, quant à la quantité c?est la catastrophe? Nous avons été très largement touché par le gel puis, il a fait mauvais temps lors de la floraison et nous avons eu peu de fécondation, c?est donc une toute petite récolte, soit 10 à 20% d?une récolte normale.
Le 2018 est tout en charme. Médailles d?Or au Frankfurt international Trophy, au concours des vins à Mâcon et au Woman international Trophy. C?est un vin doux, féminin, très flatteur au palais, très agréable à boire, à chaque fois que je le sers en famille ou entre amis, on déguste la bouteille et ils me demandent ?n?en as-tu pas une deuxième ??
Le 2019 séduit par la qualité de ses Cabernets bien mûrs, il ressemble au 2018 mais en plus corsé ; je n?ai pas encore tous les résultats mais nous avons déjà eu une médaille d?Or au Challenge international du vin, une autre au Concours Féminalise et aux Mille et une dégustations, Trois étoiles et un Coup de cœur.
Pour le 2020, je dirais que c?est un peu un mélange des deux. Assez corsé mais avec beaucoup d?élégance, un vin très complexe, riche et fin à la fois ; c?était la première fois que je participais au Concours Général Agricole de Paris et nous avons eu la médaille d?Or !
Une référence, ce majestueux Saint-Émilion GC 2019, au nez complexe où dominent la fraise des bois mûre et l?humus, il est bien élevé, de robe profonde, c?est un vin corsé et gras, aux tanins bien présents et fondus à la fois, un beau millésime séducteur, comme d?habitude, à déguster avec un beau gibier à plumes ou un rôti de veau farci aux truffes.
Le 2018 est velouté en bouche, fruité avec de la complexité, de la puissance et une grande finesse. Un millésime très surprenant et très séduisant à la fois avec ces notes de fruits noirs et d?épices, c?est un grand vin à prix très doux (32 €, voir Éditorial). Le 2017, corsé, aux tanins mûrs, au nez dominé par des nuances de cerise noire et de cuir, alliant rondeur et structure, avec une touche légèrement épicée, est un vin qui demande à être attendu quelque temps mais qui s?apprécie déjà.
Toujours exceptionnel, le 2016, généreux, plein de charme, de couleur soutenue, au nez complexe de cassis, de prune et d?épices, associant rondeur et structure, un vin gras, tout en bouche, d?une belle persistance, avec ces nuances de fruits compotés au palais, de garde, naturellement. Formidable 2015, récompensé déjà par pas moins de cinq médailles lors de Concours (bravo !), 1 Grand Or, 2 en Or et 2 en Argent, un vin intense et chaleureux, charpenté, coloré et parfumé, aux connotations de truffe et de griotte mûre en finale, un vin qui révèle des tanins puissants et très fins à la fois. Le 2014 commence à se goûter vraiment remarquablement bien, au nez complexe où prédominent la groseille et les sous-bois, mêlant structure et charnu, développe au palais des notes de fruits rouges cuits, de cannelle et de fumé, des taninssoyeux, tout en bouche, très savoureux déjà, même s?il a un réel potentiel d?évolution (32 €).
Le 2012, de couleur grenat intense, bien charnu comme nous les aimons, aux notes de pruneau, un vin marqué par son équilibre et son harmonie, qui associe puissance et distinction, parfait avec un carré d'agneau rôti ou des noix de veau, sauce au romarin. Le 2011, tout en finesse, se caractérise par une charpente solide et des nuances de fruitscuits, au nez complexe et subtil à la fois, dominé par la griotte, la mûre et les sous-bois.
Le 2010 est superbe, de base tannique importante et très équilibrée, aux arômes de fruits rouges cuits, de truffe, d?épices et de sous-bois, un vin ample, d?un remarquable équilibre en bouche, avec beaucoup de matière. Le 2009 n?a rien à lui envier, très typé, aux tanins très soyeux mais fermes également, au nez complexe (fraise des bois, cuir), d?une belle intensité en finale, un vin riche en couleur, classique, alliant finesse et charpente, ample et persistant en bouche, certainement l?une des plus belles réussites de l?appellation dans ce millésime. Pierre et Lucile Carle